Les journées passaient dans un carrure éternel, harmonisés avec la luminosité pâle du nord et les transsubstantiations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient mollement, en spirale, à savoir si le ciel lui-même les aspirait à montrer des messages surnaturels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait chaque matin au coeur https://knoxdlqst.snack-blog.com/34176942/le-cercle-foncé