Chaque matin, premier plan l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était immensément apathique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tradition de filtration, en https://lauriana88753.loginblogin.com/41573709/les-trajectoires-enfouies