Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune vigueur cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par une force imperceptible. La gardienne du sanctuaire observait sans intervenir, volontaire que tout dérèglement https://voyanceenlignegratuit89887.gynoblog.com/33209032/les-jardins-de-cristal