Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son coutume, attendait que l’obsidienne parle à futuriste. La joyau black semblait absorber la luminosité sélénite, pervibrer sous la pression du vent, et pour certains, sans alerter, elle résonnait de cette voix https://martinsekqt.angelinsblog.com/33067890/l-ombre-du-assemblé-d-obsidienne