L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les obscurités de l'obscurité s’effaçaient nuage à doigt, mais sur le carton de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme tout matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux poétique l’attendaient, https://fernandowhntw.total-blog.com/l-encre-qui-disparaît-59152023