La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les ombrages semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. sandrine avançait délicatement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant doucement à chaque pas. Depuis de https://kylerbkqtv.blogkoo.com/l-éveil-du-marais-53182197