La nuit s’étirait marqué par une voûte paradisiaque définitif, enveloppant Sybille dans un silence efficient. La lune, d’un éclat spectrale, s’accrochait aux nuages épars de la même façon qu'un phare solitaires dans l’infini. Elle avançait à travers les ruelles désertes, guidée par une médéore qu’elle ne comprenait toujours pas totalement. https://alexistgnua.blogocial.com/les-marées-du-destin-selon-voyance-olivier-68777956